La formation et la formation continue sont les meilleures réponses que l’on puisse apporter à la pénurie de travailleurs et de cadres. Les travailleurs étrangers, dont on ne saurait s’en passer dans de nombreux secteurs, nous aident certes également. Mais les bons éléments sont parfois très proches et nos propres rangs recèlent également un gros potentiel non encore exploité. Le développement de son propre capital humain, qui va d’ailleurs bien au-delà de l’âge de la retraite, est l’une des tâches centrales des entreprises suisses.